Notre histoire

Moi, c’est Juliet et depuis 3 ans, j’ai changé ma consommation vers une version plus durable, et ce sur tous les points.

Mon plus grand défi a été celui de la mode : ancienne fast fashion addict, j’ai pris conscience du désastre écologique que cette industrie représentait. J’ai donc décidé de montrer à quel point la seconde main, l’éthique, l’upcycling, sont des solutions faciles et accessibles pour tous. Depuis, je ne partage que des projets ou des marques à impact positif sur ma page Instagram (en gros, je suis la version green d’une Instagrameuse mode).

Dans une démarche low waste (et pas “zéro waste” parce que je ne suis pas parfaite), les déchets textiles m’ont directement parus comme un vrai gisement créatif. En confinement, je me suis mise à transformer tout ce que j’avais sous la main. J’ai réalisé que la revalorisation textile était simple mais magique et c’est devenu une vraie passion pour moi. J’ai décidé d’en faire mon travail en créant The Upcycling Lab.

 

© Juliet Bonhomme

© Noemie Kreitlov

Tout a commencé par le partage de mes upcycling sur les réseaux sociaux. J’ai vu à quel point ça plaisait et inspirait. Une grande demande de partage de compétences est arrivée, d’ou l’idée des workshop. J’ai voulu vraiment reconnecter les bruxellois à leur savoir-faire, à leur créativité. C’était donc un premier pôle très important que j’ai développé dans mon atelier bruxellois, à See U.

De manière simultanée, sont venues les co-créations proposées par des marques externes, séduites par la démarche. Sur base de produits invendus ou défectueux, nous avons créé ensemble des capsules upcyclées.

Et c’est là que j’ai réalisé qu’il y avait une vraie envie et demande de la part des marques. Et qu’avec The Upcycling Lab, nous pourrions les aider en tant que vrai “consultant” en upcycling.

 

My sewing guru, la mama !

Et oui, seule je n’y arriverai pas. On est une team !

“J’ai toujours aimé la mode et le Do It Yourself. Après 2 ans de cours du soir de couture, je décide de m’offrir une machine mais avec un temps plein, 2 enfants, pas beaucoup de le temps de me consacrer à mes projets. Je ne fais plus que des ourlets ou des housses de coussins …. et je transmets à ma fille les gestes simples.

Quand j’ai commencé à aider juju lors des ateliers d’upcycling, cela m’a directement remis dans le bain et j’ai réalisé que j’adorais accompagner les participantes à se familiariser avec la machine.

Un vrai plaisir de voir le sourire des filles à la fin des ateliers avec leur création!”

Cathy alias Kty pour les intimes